Nos clients

Grâce à notre approche diligente et consultative, nos clients parviennent à une communication efficace en langue seconde et à un bien-être culturel accru.

NOS CLIENTS

C’est avec plaisir que nous travaillons avec:

Secteur financier

Secteur alimentaire

Secteur gouvernemental

Secteur de la technologie / multimédia / jeu vidéo

Secteur aéronautique / transport

Secteur du droit

Virginie R. – LGS/IBM Global Services

« L’intervention hebdomadaire de l’École Shakespeare m’apporte énormément dans mon travail de tous les jours; j’arrive de mieux en mieux à communiquer avec mes collègues et consultants anglophones et j’arrive même maintenant à parler à des gens de Vancouver et de Toronto (j’en suis moi-même étonnée !!!) »

Josée P., CRIA – Directrice Ressources humaines-STL

« Je suis très satisfaite de l’enseignement offert par mon professeur, de L’École Shakespeare. Elle est structurée et possède une grande connaissance de l’anglais et des bonnes méthodes d’enseignement. Son vocabulaire est vaste et riche, elle se fait un devoir de me préciser les nuances entre les termes d’utilisation courante et ceux plus recherchés. Je sens que je progresse et je suis très satisfaite de mes cours. »

André G. – Directeur général, Urgences Santé

« Je me suis beaucoup amélioré au cours de cette formation et je souhaite poursuivre avec la même formule. »

Nancy D. – Deloitte

« Je comprenais relativement bien l’anglais mais ma gêne et le manque d’occasion de discuter en anglais constituaient des barrières importante en ce qui a trait à ma communication dans la langue seconde. En moins de un an ce sont là de nombreux bénéfices et améliorations que j’ai pu observés. Au-delà de l’amélioration de ma communication j’ajouterais que je ne croyais pas que d’apprendre l’anglais pouvait être aussi agréable. »

Jean-François B. – Ingénieur junior de procédés Uniboard Canada Inc.

« J’ai débuté mes cours d’anglais il y a environ 2 ans, avec l’école de langues Shakespeare et j’ai constaté une grande amélioration. Durant la dernière année, j’ai dû me rendre en quelques occasions aux États-Unis pour le travail, et je n’ai plus vraiment de craintes. »

Accréditée par
Emploi-Québec

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